Depuis quelques jours, une campagne de désinformation circule sur les réseaux sociaux, visant à ternir l’image du Président de la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH), Belngar Larmé Jacques. Ces publications l’accusent à tort de mauvaise gestion, de favoritisme, et de persécutions politiques, évoquant même la prétendue démission en masse de plusieurs agents de la CNDH. Or, après vérification, aucune démission officielle n’a été enregistrée au sein de l’institution. Ces allégations sont non seulement infondées, mais relèvent d’une tentative manifeste de déstabilisation.

Face à ces attaques, le Président Belngar Larmé Jacques a choisi la transparence. Lors de la conférence de presse organisée pour marquer le premier anniversaire de son équipe, il a rappelé l’état catastrophique dans lequel se trouvait la CNDH à leur prise de fonction : endettée, désorganisée, sans vision claire. Aujourd’hui, grâce à son leadership et à une gestion rigoureuse, toutes les dettes ont été apurées, les partenaires renouent peu à peu avec l’institution, et des réformes structurelles ont été engagées pour renforcer son efficacité. Malgré le contexte difficile, notamment la réduction de certains appuis extérieurs, la CNDH tient debout et poursuit ses missions de défense des droits humains au Tchad.

Belngar Larmé Jacques est reconnu pour sa compétence, son intégrité et son engagement pour une CNDH crédible et indépendante. Les fausses informations diffusées à son encontre ne sauraient éclipser les progrès réalisés sous sa direction. Il mérite d’être soutenu dans ses efforts de redressement institutionnel, de promotion des droits humains et de restauration de la confiance des citoyens envers cette importante institution nationale.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *