
Un article publié par un prétendu « journaliste indépendant » véhicule des informations erronées et trompeuses à l’encontre d’Estelle Abdelkader, cheffe du service communication de la CNDH, et du Président Belngar Larmé Jacques.
L’article reproche à Estelle Abdelkader de ne pas avoir annoncé le retour du Président Belngar Larmé Jacques après son déplacement à Libreville. Or, cette critique est infondée, car le Président n’est même pas encore rentré. Il est absurde d’exiger un communiqué sur un événement qui n’a pas encore eu lieu.
Le texte insinue qu’Estelle Abdelkader aurait obtenu son poste par favoritisme, voire par une relation personnelle avec le Président de la CNDH. Ces accusations relèvent de la pure diffamation. Sa nomination résulte d’un processus administratif et professionnel légitime, et aucune preuve n’est apportée pour étayer ces allégations.
L’article prétend qu’Estelle Abdelkader envisage de démissionner en raison de retards de paiement des salaires. Or, aucun élément concret ne vient appuyer cette affirmation. Si des retards existent, ils concernent probablement d’autres fonctionnaires et ne sont en aucun cas spécifiques à la cheffe du service communication.
L’auteur de l’article va jusqu’à faire des suppositions sur la vie privée du Président et de sa collaboratrice, affirmant sans preuve une relation amoureuse. Il est d’ailleurs contradictoire en avançant que cette dernière serait « la copine » après avoir cité désespérément plusieurs autres dames notamment dame Aichatou, Natacha, etc sans aucune preuve. Ces accusations relèvent d’une tentative de discrédit fondée sur des mensonges grossiers sans fondement.
Cet article ne repose sur aucune preuve vérifiable et s’apparente à une campagne de désinformation visant à nuire à l’image d’Estelle Abdelkader et du Président Belngar Larmé Jacques. Il est essentiel de ne pas relayer de fausses nouvelles et d’exiger des sources fiables avant de porter des accusations.