
Dans une sortie au vitriol, le président du RNDT-Le Réveil, Payimi Padacké Albert, s’insurge contre la dissolution de deux associations de la société civile pour avoir dénoncé les violences intercommunautaires et exigé la démission du gouvernement. Selon lui, cette mesure liberticide met en évidence l’extrême vulnérabilité de l’ordre public et de la sécurité de l’État, désormais ébranlés par de simples prises de parole. Une situation qu’il qualifie de « pathétique », pointant une dérive inquiétante du régime vis-à-vis des libertés fondamentales.