À travers un communiqué, la commune du 10ème arrondissement se dit surprise par le reportage diffusé ce 9 avril sur les réseaux sociaux et tient à apporter des clarifications aux interprétations qui vont tous azimuts.
La commune du 10eme arrondissement rassure la population qu’elle ne s’oppose pas à la vente de bllibili, boisson locale. Et le fait de démanteler une zone à risque ne signifie pas opposition car cette boisson ne se vente pas seulement dans cette du 10ème arrondissement. Elle se vend dans plusieurs zones.
Cependant, lors d’une visite inopinée au quartier Koukaye, les éléments de la Commune ont découvert, une zone dangereuse. Après avoir recueilli de témoignages des habitants de cette zone que la suggestion du démantèlement des cabarets est née.
« Non seulement le démantèlement de cette zone est nécessaire en raison des problématiques d’insécurité qu’ils engendrent mais ces établissements sont souvent associées à des activités illégales, telles que la vente de drogues et d’autres formes de délinquance, perturbant l’ordre public dans le quartier.», précise le communiqué.
Il n’est un secret pour personne que les cabarets créent un environnement dangereux, non seulement pour leurs clients, mais aussi pour les riverains, nuisant à la tranquillité et portant atteinte à la sécurité des habitants.
Face à cela et soucieux de la sécurité de tous, la commune a décidé de procéder au démantèlement de ces établissements pour restaurer l’ordre et préserver la sécurité dans le 10ème arrondissement.
La commune réaffirme sa fermeté quant au délai accordé pour la libération des réserves de l’État et reste pleinement déterminée à maintenir l’ordre public dans le 10ème Arrondissement.
