Des rumeurs malveillantes ont récemment circulé concernant Gassim Chérif Mahamat, ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement tchadien. Ces accusations prétendent que le ministre aurait violé Aghaichata Guichene Atta, ministre de l’Artisanat et du Tourisme du Niger, lors de son séjour dans ce pays. Selon ces allégations, Gassim serait tombé sous le charme de la ministre nigérienne, se laissant emporter par des émotions inappropriées, avec des comportements de flirt notés par des témoins. Pire encore, des accusations d’abus sexuels ont été portées, prétendant que Gassim aurait forcé Aghaichata à avoir des rapports sexuels dans un hôtel de luxe, ce qui aurait gravement choqué et indigné la jeune ministre.

Il est important de préciser que ces accusations sont totalement sans fondement. Aucune preuve tangible, ni déclaration officielle de la part d’Aghaichata Guichene Atta ou des autorités nigériennes, ne soutient ces allégations. Gassim Chérif Mahamat est reconnu pour son professionnalisme, son engagement dans la redynamisation de la communication gouvernementale et ses efforts pour améliorer l’image du Tchad à l’international. Ses démarches sont caractérisées par des actions pragmatiques et réfléchies, visant à promouvoir une image positive et respectueuse de son pays.

Ces accusations semblent être le fruit d’une campagne malveillante visant à ternir l’image de ce ministre respecté, connu pour sa conduite irréprochable et son engagement envers la modernisation des institutions. Il est évident que ces rumeurs ont pour but de créer une distraction, de déstabiliser ses efforts de réforme et de nuire à la coopération entre le Tchad et le Niger. Le gouvernement tchadien doit maintenir sa position de soutien envers ses responsables politiques et rejeter fermement ces accusations sans fondement.

Il est impératif que les médias et l’opinion publique se concentrent sur les faits réels, et non sur des spéculations, pour garantir que la vérité prévale et que la dignité des personnes concernées soit respectée.

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