N’Djamena, la capitale la plus sale d’Afrique Centrale, est confrontée à une situation critique. En effet, la mairie centrale se limite au nettoyage des alentours de la Présidence, de la Place ce de la nation et de l’axe Sabangali jusqu’au rond-point chagoua, laissant le reste de la ville dans un état déplorable. Malgré des recettes communales s’élevant à des milliards, la propreté et l’hygiène de la ville demeurent un défi majeur.

Il est impératif que le gouvernement prenne conscience de cette situation alarmante et agisse de manière proactive pour remédier à cette crise environnementale.

La population doit également être sensibilisée sur son rôle crucial dans la préservation de l’environnement et de la propreté de la ville. En travaillant ensemble, le gouvernement et la population peuvent œuvrer à l’amélioration de l’hygiène et de la salubrité de N’Djamena, garantissant ainsi un cadre de vie sain et agréable pour tous.

Il est temps d’instaurer un changement positif en adoptant des mesures concrètes pour lutter contre la saleté et promouvoir une culture de propreté. La sensibilisation et la mobilisation de tous les acteurs, y compris les autorités locales, les entreprises, les organisations civiques et les citoyens, sont essentielles pour parvenir à une ville propre et accueillante pour ses habitants et ses visiteurs.

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