Le Parti Les Transformateurs, considéré comme les des partis d’opposition le plus farouche de ces dernières années, connaît depuis quelques mois une défection hors du commun. Plusieurs cadres dont certains co-fondateur ont démissionné de ce parti.
De Don Ebert au dernier, le vice-président Moustapha Masri, en passant par Ndo Ngarbé, Fatimé Abdelkerim Soumaïla, Taher Chemi, et Mortorde Bonheur ainsi que Malloum Sultan, tous hauts cadres du parti ont fini par démissionner, tous à la surprise générale.
La plupart des militants de ce parti les traitent des traîtres, d’autres les traitent d’avoir vendu leurs conscience, leur lutte, leur militantisme aux autorités de transition.
D’après les transfomateurs, tous ce qui ont démissionné de ce parti se sont laissés «acheter» par les autorités qui ne cherchent qu’à anéantir leur lutte, raison pour laquelle ils procèdent à des achats de conscience pour mieux diviser les diviser et anéantir leur lutte.
Cependant, la plupart des démissionnaires tiennent presque le même langage, accusant le parti de pratiques allant à l’encontre des statuts du parti. D’autres vont même plus loin en faisant des fracassante révélations accusant le leader dudit parti, Succès Masra, comme Don Ebert à travers son livre intitulé «Le Succès cache-t-il Masra?»
L’ex Vice-président, Moustapha Masri, en démissionnant déclarait devant la presse que le parti prend une autre tournure, déviant de son objectif principal. Il dit donc ne plus se reconnaître dans tout ce qui se tramerait par la suite.
Juste après sa démission, l’ex trésorière du Parti, Fatimé Abdelkerim Soumaila, a salué la décision de son ancien camarade de lutte en qualifiant sa décision de sage et responsable.
Finalement tout le monde se demande si tous ces démissionnaires sont corrompus ou si c’est le Parti Les Transformateurs qui déroutent de son objectif.