Une rencontre a eu lieu, hier mercredi 12 octobre entre le ministère de la santé publique et de la solidarité nationale, celui des affaires foncières, du développement de l’habitat et de l’urbanisme, ainsi que la Coordination du système des Nations-Unies et d’autres partenaires au ministère de la santé publique et de la solidarité nationale.

L’objectif de cette rencontre était d’étudier la situation et explorer toutes les pistes pour des interventions rapides et idoines en faveur des victimes d’inondations et celles touchées par les eaux fluviales.

Pour la ministre des affaires foncières, du développement de l’habitat et de l’urbanisme Madame Ndolenodji Alixe Naïmbaye des plans sont élaborés pour répondre aux besoins urgents des populations victimes d’inondations.

 Elle a rassuré que les différents départements ministériels impliqués, travaillent d’arrache-pied pour répondre aux sollicitations des populations victimes d’inondations.  

D’après elle avec la montée des eaux fluviales, il est nécessaire de déployer des moyens conséquents pour permettre aux familles victimes de faire face aux risques de ce sinistre notamment des eaux usées qui constituent un problème de santé. L’aménagement des sites est aussi une urgence dit-elle. Des opérateurs économiques ont contribué et seront rencontrés encore ce mercredi pour un sursaut national.

La ministre a rappelé que la situation nécessite l’appui de toutes les bonnes volontés nationales et internationales pour soulager la souffrance des victimes d’inondations.

 

Le ministre de la santé publique et de la solidarité nationale quant à lui a précisé qu’il faut unifier les efforts et les ressources pour éviter une éventuelle apparition des maladies hydriques. 

 Il a indiqué que la mutualisation des efforts, le mouvement d’ensemble et la clarté dans les actions doivent être la règle pour le succès des interventions en faveur des populations touchées par les inondations.

 Il invite les services techniques à renforcer les liens avec les partenaires pour une grande efficacité et une gestion rationnelle des ressources octroyées pour juguler la crise.

La coordinatrice du système des Nations unies, Violette Kakyomya a félicité les différents départements ministèriels pour les efforts déjà fournis et a mis l’accent sur le partage d’informations pour une synergie d’actions. Elle a également proposé une large communication sur les actions concrètes réalisées et celles en cours. 

« Les experts ont parlé de la redynamisation du mécanisme, de l’identifications des besoins urgents, de la classification des personnes à secourir pour mieux cerner les interventions de tous les acteurs dans le but d’améliorer la réponse en incitant les structures techniques à multiplier les contacts pour travailler en symbiose »explique t-elle.

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