» Apparemment, la majorité de participants au DNIS ne lisent pas les documents mis à leur disposition. Ils exposent pratiquement tout ce qui se trouve dans les documents parfois en mauvais français ou mauvais arabe. Ils ne se focalisent pas sur les rapports des Commissions thématiques et les synthèses où sont contenues les recommandations et résolutions. C’est dommage. Chacun veut parler pour parler. On gesticule, on bouscule, on insulte pour prendre la parole. Le fait que le Présidium donne la parole au maximum de participants est une bonne chose mais on risque d’allonger la durée du DNIS. »